Malika OUZIR, université de m'sila, Algeria
Salim DEHIMI, université de m'sila, Algeria
Le changement de la politique du transport et l’adaptation aux impacts négatifs du covid-19 rend l’utilisation du transport doux une question centrale car elle rejoint les enjeux du développement durable et la mobilité verte.
La marche et l’utilisation du vélo sont devenues une alternative pour limiter la contamination par Covid 19 tout en maintenant une distance physique avec les autres, en sachant, les deux choix sont respectueux de l’environnement et permettant un exercice sain.
La marche à pied, avec une vision de développement durable, permet d’être en bonne santé et préserver l’environnement. Alors il est nécessaire d’arriver à l’intégration du piéton dans l’espace public en tant qu’un mouvant perpétuel et occupant de celui-ci mais aussi d’adopter une approche globale qui tient en compte le piéton et ses besoins dans les opérations d’aménagements.
Renforcer la place du vélo exige de prévoir des espaces de stationnement suffisants et adaptés. Par ailleurs, la dispersion des compétences en matière de stationnement crée des incohérences qu’il convient de lever en confiant notamment à l’Autorité organisatrice de la mobilité la conception générale et le suivi des politiques de stationnement à l’échelle de l’agglomération.
Adopter une méthode pour un partage équitable de la voirie, dans une vision de mobilité verte, nécessite une vraie stratégie basant sur des aménagements indispensables pour les piétons et les cyclistes.
Nous allons voir dans cette recherche quelques expériences concrètes, opérationnelles et réussies en matière de la conception des réseaux fluides et sures.
Mots clés : la marche|le vélo|la mobilité verte|le partage de la voirie|des aménagements
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