Giuseppe BETTONI, Université de Rome Tor Vergata, Italy
L’Italie a toujours est définie comme un Pays à l’identité nationale « fragile ». Une identité qui est pourtant facile à imaginer pour un Pays clairement délimité et dont le lien avec l’empire Romain est probablement fait trop vite. En Réalité c’est dans les élément plus contemporaine que la fragilité ou disons plutôt les conflits et les fractures se font voir. Fracture géographique (entre régions du Nord et Région du Sud) mais aussi temporelle (Risorgimento et surtout « resistenza ». Sachant que le concept d’identité culturelle (Julien) n’est ici nullement sollicité sinon comme point d’arrivé, ce sont plutôt les éléments qui caractérisent l’histoire récente de l’Italie qui vont être mise en lumière. Les points les plus conflictuelles vont tous dans une seule direction : Le fascisme et son influence après la fin de la deuxième guerre mondiale.
Je montrerais comme toute une série de questions come colonisation (en Lybie, en Somalie mais aussi en Ethiopie), Shoah, les maquisard (la resistenza) jusqu’au dernières éléments conflictuels comme le terrorisme (noir ou rouge ?) des années 70 et la question « main Propres » (des gens de gauche qui vont à droite ? Les justicialistes de hier sont les pro-innocence d’aujourd’hui). Tous ses « conflits, se positionnent toujours, à la fin, sur être plus ou moins contre le fascisme, comme une cicatrice qui plutôt que se cicatriser elle fait mal aujourd’hui plus que hier.
Je montrerais des cas des festivités, des manifestations, des conflits autour de dates et utilisation de lieux qui vont porter à voir comment ce débat n’a toujours pas été résolu.
Mots clés : Géopolitique|Mémoire|Fascisme| Identité
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